Pulitzer photo

Le prix Pulitzer 2007 pour un reportage photos a été attribué à Renee C. Byer, photographe du journal Sacramento Bee. Avertissement: cette série en noir et blanc chronique la maladie puis la mort d’un enfant cancéreux et le martyr de sa mère. C’est à la fois totalement désespérant (j’insiste: très très dur) et un chef d’oeuvre de photo-journalisme.[via Thomas Hawk]

5 Réponses to “Pulitzer photo”

  1. Christophe Says:

    (Juste un détail: la photo qui illustre l’article ne s’affiche plus)

  2. GrObIgOu Says:

    Très belle trouvaille que je pense vaut vraiment le coup de faire suivre. Je m’empresse alors de la bloguer pour diffuser ce reportage photo saisissant.

  3. lyon3 Says:

    C’est la ou on se pose la question, suis-je voyeur? suis-je en train de regarder réellement de l’information? Cela sert-il à quelque chose de voir de telles photos et de les propager dans le monde entier… Je m’interroge. Le contexte de la prise de ces photos, l’accord réel de la mère (il n’y accord que si réellement elle était dans un état sain, ce qui ne peut l’être quand on a son enfant malade et incurable) pourraient nous éclairer, elles sont livrées relativement brutes (avec des détails mais sans plus)… Où est le respect de l’humain la dedans? Je sais pas trop…

  4. Tech Bee Says:

    A lyon3: j’ai reçu ton mail, mais je n’ai absolument pas supprimé ton commentaire (moi? faire ce genre de chose? never!). C’est étonnant qu’il n’apparaisse pas de ton côté. Il y a sur le blog d’antoine, qui a repris le lien, un commentaire interessant, une précision technique importante:
    http://blog.soubigou.org/index.php?2007/04/23/374-prix-photo-pulitzer-2007
    Personnellement, je n’ai pas trouvé cela voyeur. Ce reportage ne pouvait exister, sur trois ans, sans une véritable relation de confiance entre le photographe et la famille. Si tu regardes les dates, au debut, c’était le combat contre le cancer d’un enfant, pas la chronique de son agonie. Si tu vas sur la bio de la photographe, sur le site de Pultizer, tu verras aussi que cette photographe a fait d’autres reportages « lourds » au long cours, et qu’il y a une implication humaine de son côté qui écarte les soupçons de voyeurisme.

  5. blanchard Says:

    tres emotionnée, car apres avoir vecu ces photos avec un proche on continu à vivre avec ses belles images d’une personnes qui souffre sans jamais baisser les bras ni se plaindre.j’aime la vie je l’ai toujours aimé mais encore plus aujourd’hui, car son absence me fait souffrir mais son courage me fait vivren, vivre pour moi ma famille et surtout pour ce parrain qui m’a montré qu’il ne faut pas se plaindre pour rien et que vivre et la plus belle chose en soi encore faut il jouir de cette vie, alors je lui dit ici bas tu me manques tu me manqueras toujours mais je vis pour toiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.
    j’admire ce courage que je n’aurais pas quand mon tour viendra, mais je sais que je reverais ceux qui sont partis.merci

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